NOM : MORER
PRENOM : CORINNE
FONCTION : ANALYSTE CONCEPTEUR WEB
1. Pourquoi votre activité vous paraît-elle positive ?
Je crée des sites internet adaptés aux besoins de mes clients. Ils peuvent vraiment dire “mon site”, car leur site leur ressemble, il est à leur image, il est leur image. Créer un site internet, c’est une formidable aventure ! Elle s’intègre dans une aventure encore plus grande : la communication digitale !
J’y contribue avec enthousiasme depuis plus de dix ans et je continue naturellement à le faire depuis mon entrée à l’agence web de l’ADEC en 2019. Je suis spécialisée dans l’univers WordPress qui permet de créer aussi bien des « sites vitrine », des « sites e-commerce » que des sites « outil » (petites annonces, réservation de séances de sport, enquête de satisfaction client…)
Mon métier d’analyste concepteur web consiste à être un fil conducteur tout au long du projet. J’interviens pour analyser les besoins du client et proposer un projet adapté. Je participe également à la réalisation technique et je peux aussi donner mon avis sur la partie graphique du site.
L’élément le plus positif de mon métier pourrait se résumer par le mot « accompagnement ». Je pense en particulier à deux expériences pour illustrer mon propos.
Les clients qui nous consultent ont des niveaux d’appétence et de connaissance variés en matière de communication numérique. Il est mutuellement très gratifiant de parvenir à établir les bonnes clés d’analyse pour bâtir ensemble le projet de site. Les solutions à mettre en œuvre ne sont pas les mêmes pour tous et les curseurs s’ajustent au cas par cas. En effet, nous pouvons aussi bien proposer des sites « carte de visite numérique » stables dans le temps si le client ne souhaite pas les modifier régulièrement ou au contraire, lui donner la possibilité de mettre en ligne des contenus au quotidien.
Si nos clients viennent à nous en premier lieu pour disposer d’un site, nous nous intéressons toujours à l’activité de leur société et au public à qui ils s’adressent. Échange toujours très instructif ; D’une part, nos clients parviennent à mieux parler d’eux sur leur site. D’autre part, cela leur ouvre souvent de nouvelles pistes pour intégrer cette réalisation dans une stratégie plus large de communication !
2. Comment votre activité rend-elle plus facile celle des CDJ ?
Pour répondre à cette question, penchons-nous sur ce que peut apporter un site internet à une étude de Commissaires de Justice. Il permet en premier lieu de rendre accessibles des informations factuelles aux publics qui recherchent un professionnel ou à ses propres clients (missions, compétences territoriales pour les activités monopolistiques, informations pratiques, moyens de contact…). Le Commissaire de Justice peut aussi choisir d’y faire intégrer un lien vers une interface de paiement en ligne, des moyens de faire la publicité relative à une vente ou d’afficher des règlements de jeux concours… autant de supports utiles à son activité au quotidien.
Et toutes ces considérations « utilitaires » de fond s’accompagnent de considérations de forme grâce à l’équipe de graphistes de l’Agence Web ADEC !
Encore une fois, je vais employer le mot « accompagnement » car bien entendu, le contenu du site internet d’une étude doit être cohérent avec la configuration de l’étude : nombre de bureaux, implantation géographique, organisation interne, typologie des activités pour laquelle elle est sollicitée… et nous en tenons compte dans nos propositions d’intervention.
3. Une anecdote vous concernant ?
J’ai découvert la brocante il y a quelques années grâce, entre autres, à mon collègue et ami Jean-Michel Gimenez dont vous avez lu l’interview il y a quelques semaines. Depuis, je profite aussi de toutes les occasions pour dénicher des trouvailles, voire d’envoyer quelques photos le weekend à des amis, généralement le dimanche, pour savoir si les uns ou les autres pourraient être intéressés par tel ou tel objet. Tout cela en espérant ne réveiller personne au cas où le téléphone ne serait pas en mode silencieux pendant un temps de repos…
Heureusement, pas de concurrence, je suis plutôt sur le segment « deuxième main » pour les vêtements ou objets du quotidien, à partir des années 60 !
4. Un sujet libre
Je viens de découvrir que je pèse un tout petit peu plus de 9000 kg… d’équivalent CO2 par an. Ça reste dans la moyenne française, mais je compte bien faire ma part pour réduire mes émissions !
