Il y a quelques années, on pouvait craindre – légitimement dans certains cas – que la machine ne remplace définitivement l’homme dans certaines tâches, fonctions, missions.
Les Commissaires de Justice et les professions du droit en général craignaient que leur expertise ou leur regard ne disparaisse par l’intervention du numérique, de l’Intelligence Artificielle ou des apprentis juristes après un tour sur chatGPT… mais les métiers du droit ont su au contraire montrer leur pertinence.
Ce quelque chose en plus, qu’on appelle parfois instinct, intuition, 6ème sens, a dirigé les machines et les intelligences numériques pour déployer l’étendu des savoir-faire des métiers du droit.
Ce n’est donc pas la machine qui a aliéné l’homme ou l’a dépossédé de son travail. C’est l’homme qui a mis les outils numériques à son service, dans la voie du progrès technique.
Bien Confraternellement,
L’ADEC
